Cette annonce survient après plusieurs démarches pour sauver l’immeuble. En effet, la Société canadienne d’hypothèques et de logement (SCHL) offraient, pendant la pandémie, 600 000 $ pour effectuer des travaux de remise en état de l’immeuble. Les besoins estimés initialement s’élevaient toutefois à 3 M $.
Il y a plusieurs années, la SCHL s’est prévalue de son droit de gestion hypothécaire afin de protéger la valeur du bâtiment et, depuis, elle a permis à la Fédération de prendre en charge l’organisme, une situation extrêmement rare. Ce sont les locataires de la Villa qui avaient alerté la FROHME des nombreux problèmes structurels et des enjeux démocratiques de l’OSBL-H. De petites rénovations avaient pu être faites, mais sans pallier aux nombreux déficits structurels du bâtiment.
La Fédération travaille activement à autonomiser les locataires pour qu’ils puissent constituer, après le projet de construction, le nouveau conseil d’administration de la Villa de l’Amitié.